•  le 28/08/13 toujours à l hôtel
    On a fait le choix stratégique de rester une nuit de plus à l’hôtel, les distances avec la salle de bain etant correct on joue la sécurité.

    le 29/08/13 reserva ecologica de manglares de churute

    On passe guayaquil sans trop se perdre ( un exploit pour nous), on arrive à la réserve des manglares de churute, on est autorise a dormir sur le parking , demain on doit faire la visite de la réserve avec un guide. On fera tout de même une superbe visite en fin d apres mid: la visite d'une plantation de cacao. C'est le père d'un des guadaparque qui gére cette exploitation, nous voici donc au milieu des champs de cacao, il nous montre les différents fruits, qui sont tres bon a manger comme ca, leur méthode de séchage à même le sol pendant 3/4 jours, puis sa sœur prend le relais et nous entraine dans la cuisine où elle fait torréfier des fèves, pour pouvoir ensuite les passer au moulineur afin d'obtenir une pâte. Nous faisons ensuite la connaissance d'une autre fille de la famille qui fini des etudes de tourisme et qui a monté le projet de restaurant sur la propriété "cacao y mango", elle a deja des touristes qui viennent visiter la plantation de son père et sa mère fait la cuisine. Elle nous expose tout cela autour d'un vrai chocolat chaud, la pates de cacao de tout à l'heure est plongée dans une casserole d'eau chaude sucrée. On passe un moment extraordinnaire et chargé en émotions le pere de famille parle avec une grande passion de son travail, de ses terres( il cultive du cacao, des fruits, du poivre, du riz, et élève des poules et même des poissons), et les filles parlent avec fierte de leur pere et de leur incapacité à être loin de ce petit paradis. Malheureusement l'invasion de moustiques nous oblige a lever le camps.
    ce sera l occasion de tester la moustiquaire installée par Arnaud.

     le 30/08/13 la mangrove

    Il a fait très chaud cette nuit mais on a limité les dégâts avec la moustiquaire. On décolle à 8h30 en compagnie de Carlos qui nous fera visiter une partie de la réserve à la recherche des singes hurleurs. On met la tenus de combat , ce sera pantalons, tee shirt a manches longues malgré la chaleur, car dès notre arrivée sur le site une nuée de moustiques nous suit. On s'enfonce dans la foret humide, Carlos nous montre differents arbres comme l'arbre liane, et nous apprend les vertus de certains : contre les mots d'estomac, contre les problemes renaux, repulsif à moustiques... puis on fini par apercevoir les habitants des lieux: les singes hurleur! qui nous regardent perchés dans leurs arbres , on en entendra meme qui previennent leurs congenaires d'un danger: felins ou serpents au choix!
    le tour en foret terminé, nous allons dans la mangrove où nous croiseront des toucans, ecureuils, perroquet apprivoise et crabe bleus. Carlos est pecheur de crabes rouges, il les peche dans la mangrove: dans la vase ce trouve des trous, et chaque trou correspond a un crabe, la technique consiste à etre bien habiller, armé de gants et de piques. il faut ensuite mettre le pique dans un trou et attendre que le crabe pince le pique pour ensuite le sortir, mais la plus part du temps il faut y mettre le bras entier.

    petit zoom a cause de severine (mais non que pensez vous : on ne lui en veut pas!!)

    LA SUITE DE NOS AVENTURES SE PASSE A NOUVEAU DANS : perou au jour le jour

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  • le 20/8/13 Otavalo
    c'est sous la pluie et dans la brume que nous quittons le parc, nous avons eut de la chance de voir le cotopaxi hier. Nous affrontons le péripherique de Quito, une experience parisienne n'est pas du luxe, c'est stressant, scooby est mis à rude epreuve surtout avec des feux rouges plantés en haut de côte mais après quasiment 21000km, nous sommes enfin à "la mitad del mundo" latitude 00°00°00. Après cette petite pause touristique on se rend à Otavalo à la recherche d'un hotel, on trouvera notre bonheur au bout d'un long chemin pavé à la luna super hotel dans un super decors, le soir on se payera le luxe d'une pizza maison devant un feu de cheminée, on fera la connaissance de 2 francais qui font la route des volcans, Foy aura elle, moins d'atomes crochus avec le chien de la maison.


    le 21/8/13 Aloag
    Après un bon petit dej et le partage de souvenir avec notre hotesse, on prend la direction de la laguna de cuicocha, comme d'hab on galère a trouver (indication que dans un sens et pas le notre) et en plus on est decu (bien moins jolie que celle de quilotao). On decide d'aller visiter les pyramides pre-incas, la route est raide : du pavé (quand il est en place) sur 12 km et les 800 derniers metres se feront en 2 fois car scooby à le cul trop lourd, arrivé en haut le verdict tombe, on a fait tout ca pour rien.. boubou n'a pas le droit d'entré et comme on veut lui epargner une session de haman dans le scooby, on fait demi tour. Résultat, on se retrouve à Quito centre en pleine heure de pointe, il faudra 1h30 pour tout traverser, il est temps de se trouver un bivouac, une station service fera l'affaire.



    le 22/8/13 Canoa
    On part avec l'idée de faire que quelques kms, les paysages sont magiques: des colines verdoyantes, des cascades, des bananiers, palmiers, orangers, des fleurs aux couleurs vives..bourré d'humidité on est tout poite, on s'arrete dans un boui boui pour notre repas de midi et on reprend la route, les paysages s'ecoulent tranquilement comme les habitants dans leur hamacs mais pas de bivouac en vue, on fini par ralier la cote et atterir à canoa, c'est une petite station balnéaire très baba cool qui fera notre bonheur pour les jours à venir, on passe en mode vacances.

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     



    le 23/8/13 Canoa I
    aujourdhui est une tres belle journée avec un beau ciel bleu et une chaleur etouffante, on decouvre ce petit village, on decide de gouter une spécialité : le ceviche, on se retrouve avec devant nous une soupe froide, avec des morceau de poisson, de poulpe, crevette et huitre, le tout dans un jus noir accompagné de chips de banane : pas terrible!! on repart tres decu ca nous a couté cher et en plus on a faim. On finira l'après midi à l'ombre des palmiers sur la plage.



    le 24/8/13 Canoa II
    la nuit a été desagréable et tres tres chaude. hélène se reveille un peu barbouillée et le café serré du proprio du camping n'arrange rien, on passsera la journée a squatter hamacs et chaises longues à l'hombre des palmiers et arbres en fleurs du camping. La nuit va être très longue et très chaude à se faire bouffer par les moustiques (44 piqûres pour arnaud).

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    le 25/8/13 quelque part sur la côte


    On traine nos têtes de deterrés à la recherche d'une moustiquaire à bahia de caraquez, la route devrait être rapide, on a que 160 km pour ralier puerto lopez mais voilà entre le gps qui se perd et le manque d'indication..au bout de 4 h on a fait que 80 kms, bon on s'arrete pour manger au bord de la mer malgré un debut de maux de ventre, 10 kms après, il faudra s'arreter c'est alerte rouge pour arnaud (Titi on sait que c'est toi qui nous refilé des merdes) par chance on trouve une plage, Foy et hélène laisseront un long moment d'intimité à arnaud et aux toilettes. le ceviche "no mas!!"

    le 26/8/13 puerto lopez
    la nuit a été dure pour nous 2, hélène a pris le relais d'arnaud : pour ceux qui se demande comment on peut gerer avec si peu d'espace 2 gastro en même temps...et bien : ON NE PEUT PAS, il faut sortir de toute urgence les fesses à l'air dehors, à la merci des moustiques. C'est très tôt que nous arrivons à puerto lopez, notre chambre n'etant pas dispo c'est les fesses serées qu'on attend sur la plage, on prend enfin possession de notre cabanas sur pilotis très sympa, avec terasse et super salle de bain avec douche comme à la maison. cette aprem s'est sieste et hamacs.

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     



    le 27/8/13 la ballenas


    grace aux négociations d'arnaud on trouve un tour qui nous fait les baleines pour moins cher qu'à l'hotel, boubou quant à elle passera la matinée à la fraicheur du ventilateur. on embarque donc avec cherrimar, un mec qui a la patate et qui met l'ambiance!! au bout de 30 min en mer..1er dos dos de baleine et quelques minutes après on croise une famille de 3 mamifères qu'on suivra un bon moment, ils sont là à 10 m de nous, imposants (17m pour la femelle) et majesteux, la mère et son petit nage traquilement cote à cote, le mal, lui,nous offre de belles prestations, ils passe sous le bateau et passe à quelques metres de nous (helene en à plein les lunettes), ils sont telement près, qu'on peut voir le blanc de leur ventre et leur narine s'ouvrir et se refermer. Nous finirons par les laisser tranquile et nous partirons plus loins pour admirer les fous à pieds bleus, les plus "temeraires" s'essayeron à la plongé avec un gilet de sauvetage, on assiste à un autre spectacle : les "cachalots" lol

     

     

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  • le 14/08/13 Banos
    c'est sans tarder que nous prenons la route, ca grimpe toujours et les paysages de culture s'allongent devant nous transformant les montagnes en patchwork. On y voit des familles entières y travailler sur les champs à flanc de montagne portant des kg sur le dos, on fait une halte à la lagune de colta, petit parc amménagé autour d'une lagune. On repart en direction de riobamba, on longe la voie ferrée et on arrive enfin sur l'altiplano andin à 3600m, c'est ici que commence la route des volcans. A riobamba, nous trouverons notre dejeuné, porc cuit dans sa graisse avec une purée qui cartonne.
    on se dirige vers les thermes de san francisco, on traverse des villages où les habitants fabriquent des briques dans d'immenses fours, on monte, on monte, on monte et là plus de panneau et plus de route, stop demi tour, on laisse tomber et on cherche le parc sangay et vous vous en douter apres 75 km de detour on ne trouvera pas non plus, on se rendra donc à banos et relax à l'hotel. bizarrement on trouve la route petite et c'est la seule sur la carte et la seule sur le gps. A un village un panneau nous interpelle : "no pasaje entre pinecle y banos", on demande et on nous dit que c'est la bonne route et qu'elle est praticable, même la DEE nous laissera passer. c'est quoi cette merde : pas de route mais un chemin tracé dans les cendres du volcan avec de l'autre coté le vide, on ne peut pas faire demi tour!! au bout d'un moment un croisement, le vieux panneau rouillé de droite indique "banos" et sur la gauche un tout neuf indiquant toute les direction dont quito et banos...donc à gauche et on descend entre cailloux, roche, cendre et precipice, pris d'un doute et en croisant 2 habitants on demande : " pas du tout il faut tout remonter et tourner au croisement", ca se fera à fond de 1ere sur les cendres et terre, et plus loins en contre bas on appercoit une superbe route asphaltée...mais d'où vient elle?? On arrive enfin à banos et on se rend à l'hotel où vont tous les routards et devinez quoi : c'est fermé. On trouvera notre bonheur un peu plus loin sur un chemin qui contourne un tunnel, on est au calme avec vue sur le rio et bonus des orchidées sauvages.




    le 15/08/13 banos
    Ce matin, c'est grace mat dans scooby, on se lève tous à 10 h. On part faire l'attraction de la journée : la tiroliene, on s'embarque tous les 3 (oui oui boubou est bien de la partie) dans une petite nacelle, c'est parti on traverse le rio pastaza qui s'ecoule bruyament 180 m en dessous de nous, effet garanti, on arrive sur l'autre rive au dessus d'une double cascade. Apres une petite promenade il est temps de reprendre le chemin inverse et Foy est impatiente d'avoir à nouveau les oreilles au vent, pour info ce mode de transport etait utilisé par les incas. Par la suite nous recherchons un hotel que nous trouverons en plein centre ville et boubou peut dormir dans la chambre, un tour rapide en ville on trouve bonheur dans un marché dans un "comedores" : au menu soupe de poulet, viande riz, salade et jus de canne. l'apres midi sera consacré à internet et que le debit est lent. ce soir c'est pizza et django. On dormira très mal sauf Foy qui aura un lit juste pour elle et elle ne le quittera pas de la nuit.

     



    le 16/08/13 el pailon del diablo
    direction le chaudron du diable, nous enpruntons les escaliers dans la foret tropicale humide et luxuriante, nous arrivons au niveau du chaudron : 80 m en dessous de la cascade, le bruit est impressionant, nous emprun, on preztons ensuite un petit, tout petit boyaux taillé dans la roche, on s'y faufile accroupi jusqu'à un mirador, puis un autre boyaux monte jsuq'à derrière la cascade, Arnaud y a pris une bonne douche, Foy et Helene attendrons regardant le defilé de gens mouillés, pour info ceux qui veulent faire cette ballade evitez les pantalons clairs avec culotte rayée, je dis ca, je dis rien!! nous regagnons le bivouac où la pluie sera la bienvenue.



    le 17/08/13 la laguna de quilotao
    En route nous croisons pleins de petits "cuy" qui grillent gentillement, c'est sur il faut qu'on goute. Nous arrivons à latacunga où nous ferons la pause dejeuné et encore un bonne soupe differente, on prend la route de la lagune et une nouvelle fois on se trompe de chemin, on y parviendra quand même et à 3500m. Et là on est sur le cul, on plante le decors : un concert en bruit de fond, un vent glacial, et en contrebas un lac au fond du cratère d'un volcan. le lac fait 3km de diamètre et est né d'une erruption il y a plusieurs siècles entrainant l'effondrement du volcan sur lui même. demain on y descendra, en attendant on profite du concert itinerant.

     



    le 18/08/13 parque de cotopaxi
    c'est motivé qu'on prend le sentier de la lagune qui se trouve 400m plus bas, on descend d'abord des marches en pierre et très vite on se retrouve dans du sable, le must un passage avec une pente raide sur du sable avec juste une corde pour nous aider à ne pas glisser dans le vide, plus on descend et plus on se dit que la remontée va etre physique (3500m d'altitude toujours et ca manque l'oxygene!!), nous arrivons à une petite plage où devant nous, les eaux tranquiles verte emeraude sous encerclées par les falaises du cratère, on restera un petit moment, on redoute la remontée...mais on est courageux : on attaque!! les 1ers 100 metres donnent le tempo: on va en chier!! on mettra 1h30 à remonter dans le sable avec le denivelé à 40% a croiser les paresseux qui remontent à dos de mule ( les muletiers jeunes comme vieux, eux montent à pieds) on y arrive non sans fierté. On retourne à latacunga pour trouver un hotel, mais Foy leur fait peur donc on repart, on decide d'aller au parque de cotopaxi, on y arrive à 17h30 c'est la fermeture mais un guadaparque accepte de nous laisser entrer jusqu'à l'aire de campement ( on s'est gardé de dire qu'on avait un chien), on aura le droit à une vue sur un volcan lointain et en prime le chauffage fonctionne ( c'est pas du luxe à 3800m) mais on le coupe la nuit.



    le 19/08/13 cotopaxi te voilà
    Il fait frais dehors 2.5° à 7h et 4.5° dedans mais sous la couverture il fait très bon, on decolle pour se rendre à la laguna limpiopungo et le cotopaxi se montre enfin, il est d'une taille impressionnante : 20km de base et 5897 m de hauteur, il est l'un des volcans actifs le plus haut du monde et le plus dangereux de l'equateur. Pour exemple, l'erruption de 1870 s'est entendue jusqu'à 350 km, nombreux villages ont étés detruit par une gigantesque de boue et plusieurs jours plus tard elle atteindra le pacific à 80 km de là, ses habituelles coulée de lave, jets de pierres et de cendres, ses erruptions menacent de faire fondre neiges et glaces de son sommet et provoquant ainsi c'est mortelle coulée de boue. Devant nous il se dresse avec multitude de couleur ; du vert de prairie, rouge de sa roche, noir de sa lave, au blanc de sa cimme enneigée. On entreprend le tour de la lagune et cotopaxi joue à cache-cache avec les nuages, de retour sur notre bivouac, un violent vent nous contraidra à de pas monter la tente et nous ferons la connaissance d'un couple d'allemand qui voyage depuis 1 an dejà et sans date de retour.

     

    et le repos des guerriers!!!!!

     

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  • le 8/8/13 vilcabamba
    Nous arrivons dans ce petit village, connu jadis pour ses centenaires, a la recherche d'un hotel pour publier, skyper et se doucher. on prendra une chambre, foy aura le droit d'y rester avec nous, c'est tres rudimentaire malgré les 20$ lachés. on passera la journée sur internet de toute facon c'est une pluie tropicale qui tombe! on decide en fin de journée de sortir manger, malheuresement rien de typique dans ce village donc ca sera encore du poulet et boulettes de viande à l'orientale

     



    le 9/8/13 vilcabamba-malacatos
    Nous decollons à la recherche d'une ballade, ca sera la reserve de rumi-wilco, la promenade est agréable nous longeons la rivière, mais nous sommes contraint de rebrousser chemin..boubou servant d'amuse gueule aux fourmis. on quitte par la suite le village et on apprendra plutard que c'est ici qu'on aurait dû acheter le café et qu'une boulangerie francaise vennait de s'y ouvrir. on retourne à notre bivouac de malacatos, ce sera lessive, promenade au village et brochettes de poulet grillé.

     



    le 10/8/13 malacatos
    c'est une journée repos, il y a la fête au village, on s'y rend mais trop tôt, ca commencera qu'à 21h30 mais c'est trop tard pour nous..on dort!!! bravo!!

    le 11/8/13 Saraguro y puente ona
    Nous partons tôt pour Loja où nous ferons quelques courses et un tour en ville à la recherche de tabac à rouler, peine perdu il n'y a pas de tabac comme ca ici et à priori pas du tout en equateur (pffff dit il!!!signé arnaud), direction saraguro,  on s'arretera au marché (on souhaitait se rendre dans la communauté de la laguna mais on n'a pas trouvé), il est très coloré et on y croise les indiens saraguros reconnaissable par leur tenue : pantacourt noir pour les hommes avec cheveux longs tréssés et chapeau melon et jupon noir pour les femmes avec egalement chapeau melon, c'est une tenue de deuil en mémoire de leur roi inca. on décide de manger local, on prend dans une comedores un poisson grillé pour arnaud et viande pour hélène, le tout accompagné de riz, maïs, petit pois etc..trop bon et pas cher (2.60 euros en tout).
    Plutard on se fera viré de notre bivouac se qui nous oblige à reprendre la route et on trouvera un superbe endroit surplombant une rivière. Arnaud pêchera avec un simple fil (rappelez vous la canne est cassée) et il y perdra encore un hamecon (faite le compte depuis le debut du voyage!!). A notre retour on discute avec un gars qui nous apprend oh joie qu'il faut faire très attention aux couleuvres piquante qui sortent chasser la nuit.



    le 12/8/13 gualaceo"
    On se rend à gualaceo pour acheter un panama, on decide en 1er lieu de chercher un bivouac et de faire le marché le lendemain matin, on trouve à se poser aux abords d'un "parque recreacionale", 2 policiers nous inviteront à dormir près du poste de police car le parc n'est pas très sur la nuit, sympa ils nous donneront rdv à 19h pour nous conduire à notre nouveau bivouac et ils nous proposent de nous rendre au village d'à coté pour y acheter un panama. on profite pour y acheter une bague car ils sont spécialisés en orfevrerie. Comme convenu, nos amis policiers nous escortent girophares allumés jusqu'au "cuartel" nous y dormirons cette nuit et QUE la nuit fut courte.. trop bruyant!! Au matin nous retournerons rapidement petit dejeuner près de la rivière.

    tête de chat ou tête de singe?



    le 13/8/13 Cuenca et quelque part dans les nuages
    On se dirige vers le village voisin pour y visiter une serre d'orchidées ou pas loins de 2000 especes differentes y sont représentées, 10$ plutard et quelques belles photos, nous allons à Cuenca, on y flannera quelques heures avant de reprendre la route, route bien montagneuse comme toujours avec cols à 3500 m. nous y traverserons même les nuages (trop fort) et nous bivouaquerons près d'une rivière.

     

     

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  • le 6/08/13 EQUATEUR

    la nuit au poste frontière a étè bruyante et Arnaud a servit de repas aux moustiques. Le passage de la frontière se fait facilement et sans aucune fouille. Ca grimpe directe mais c'est magnifique, la terre est de différente couleurs , et c'est le premier pays que l'on voit fleurie. On se trouve un bivouac sur un chemin le décor est superbe, il y a un chemin pour promener boubou et dans l’après midi les chevaux viennent nous rendre visite.

    le 7/08/13 malacotos

    La nuit a été écourtée par les chevaux qui sont venu grignoter le cul de scooby. On repart pour environ 100km avec une halte a Loja pour les courses et on se trouvera un super bivouac au bord d'une rivière, ca tombe bien il fait chaud ( 43°c au soleil), on en profitera pour faire lessive, lavage de scooby et douche de boubou.

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